Cuisine et dépendance
À toi mon bel amour.
Quand tes jambes m’entourent
Je me retrouve en transe.
J’ai là, ce bel objet, prêt à t’être offert.
Je sais que tu l’attends, palpitante et avide,
Car naturellement tu as horreur du vide
Et ton cul est, je crois, à mes envies ouvert.
Pour en faciliter encore le passage
Je l’ai oint d’une goutte de ce gel divin
Car je ne me résouds pas à essayer en vain
De forcer ton anus à ce doux ajustage.
Quand au dedans de toi il aura trouvé place,
Il saura entre nous, je sais, rompre la glace,
Avec le froid mordant mais suave du métal.
Tu voudras, à ton tour, me rendre la pareille
J’attendrai donc, brûlant de désir, cet éveil
Car je sais que ce don n’aura rien de brutal.
J’ai souri d’un décolleté
Dans lequel je me suis noyé,
Tu étais belle l’employée
De mairie au pull ajusté.
Sentir dans son cul
L’irrésistible poussée,
Le plug est passé
À genoux, entravé,
N’être plus qu’un objet
De plaisir, un sujet
Par ton con captivé.
Tu as les mains gantées
Et tes cuisses m’enserrent,
C’est un si doux enfer
Par qui je suis tenté.
Je respire si peu
Lorsque nous tressaillons,
Mais suave est mon baillon
Et tes jus sirupeux.
Tu me guides me mènes
À ton plaisir hautain,
Mais j’aime ce festin
Car, oui, tu es ma Reine.