Il nourrissait une passion inconditionnelle pour les fesses. Et il avait parfaitement admis qu’un anus était unisexe. Que, donc, ce qui était bon pour Elle l’était aussi pour lui. Et son amour pour le cul l’avait amené à accepter bien plus qu’un simple doigt. C’est ainsi que, à chacune de leurs rencontres, ils avaient coutume de se sodomiser réciproquement, voire simultanément, à l’aide de jouets ad hoc.
Pour le commun des mortels, détenteur de la “morale”, c’étaient bien plus que des péchés. Mais, dans la mesure où c’était assouvir des désirs partagés, pouvait-on réellement parler des passions sales de François ?