Je ne cesse pas de fixer la silhouette qui se dessine derrière la fenêtre, à la fois si près et si loin. Comme si je désirais créer un lien avec nos regards qui se croisent. Il y a un reflet et je ne distingue pas grand chose. Mais je mate ainsi la personne qui me mate et spécule sur ce qu’elle est en train de faire. Je la suppose dans une caresse synchrone à la mienne et me demande qui cèdera le premier.
De façon presque automatique j’assure un peu plus la prise de mon sexe et accélère le mouvement