Vient à présent le temps de la goûter. Je commence à laper tout doucement ses nymphes, juste de la pointe de la langue. Je les sens chaudes et gorgées de sang et un peu de sève s’en écoule, que je recueille presque religieusement de mes lèvres en calice.
Son bouton d’amour ne tarde pas à poindre de son capuchon. Je l’aspire alors avec ferveur jusqu’à ce qu’un psaume inarticulé sorte de sa bouche. C’est la douce musique de son plaisir, qui enfle au fur et à mesure que je joue de ma bouche sur chaque centimètre carré de son sexe,
Et bien que voilà une délectation de ce divin nectar fort bien écrite.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci mon cher ami
J’aimeJ’aime