
Il n’y avait personne dans le bus quand j’y suis monté ce matin pour me rendre au boulot, jusqu’à ce que cette femme monte quelques arrêts après moi. Je l’ai tout de suite reconnue, c’est elle qui est chargée de l’entretien de nos locaux. Je ne l’avais en revanche vue que dans son uniforme professionnel et j’ai été sidéré par la différence. Exit la blouse informe qui masque ses formes, je la découvrais à présent dans toute la force de sa féminité en blazer ouvert sur un chemisier largement décolleté, jupe courte en cuir collants résille et baskets montantes. Elle a des formes généreuses mais cette tenue un peu près du corps ne la rendait absolument pas vulgaire, bien au contraire. Elle était devant moi en séductrice affirmée et, bien évidemment, j’ai plongé. Les yeux dans le sillon de sa poitrine pour commencer puis, plus bas, sur ses cuisses rondes qu’elle croisait et décroisait devant moi. C’est pourtant elle qui a lancé la première le « on se connaît, non ? » tellement bateau dans ce genre de circonstances mais tout à fait à propos finalement. Elle a rapidement enchaîné.
— Vous bossez au premier, pas loin de la cafétéria, je vous ai repéré.
La glace était rompue et nous avons gentiment flirté jusqu’à ce que nous arrivions devant la porte du bâtiment.
— Je vous laisse là, je ne peux pas travailler dans cette tenue.
— Ce qui est fort dommage mais si vous voulez que je vous aide à vous changer
Nous étions devant son vestiaire. Elle s’est contentée de sourire en ouvrant la porte avant de lâcher un « chiche » qui m’a fait perdre les pédales. Je l’ai enlacée, j’ai écrasé ma bouche sur la sienne et je l’ai poussée à l’intérieur. Elle m’a rendu mon baiser en projetant sa langue à la rencontre de la mienne et en pressant son entrejambe sur ma cuisse.
J’ai bandé aussitôt, ce qu’elle ne pouvait pas ignorer tellement nous étions collés l’un à l’autre et ses mains se sont attaquées à ma ceinture et ma braguette avant de sortir ma queue dressée qu’elle a aussitôt saisie.
— Joli morceau.
J’avais passé pendant ce temps mes doigts sous sa jupe et découvert qu’elle ne portait rien dessous. Je l’ai sentie déjà trempée à travers l’obstacle de son collant qui s’est avéré être fendu.
— Tu en es un toi aussi. Et parée à toute éventualité à ce que je vois
— Je suis femme de ménage, je n’en suis pas moins une femme qui assume ses envies. Tu assumes les tiennes ?
Elle avait une capote à portée de main qu’elle m’a enfilée. Elle a relevé une jambe sur ma taille et j’ai présenté mon gland à l’entrée de son sexe.
— Viens !
Une poussée rectiligne rendue possible par la faible différence de taille entre nous et je l’ai embrochée jusqu’à la garde appuyée contre le mur. Je l’ai ensuite attrapée par les fesses et elle m’a aidé à la soulever pour mieux la pénétrer.
J’entendais les voix des premiers arrivants à travers la porte, c’était dingue mais le temps nous était compté alors nous nous sommes donnés l’un à l’autre avec toute la force dont nous étions capables.
Elle a planté ses dents dans mon épaules à travers mon pull au moment où elle a joui et cela a déclenché à mon tour mon orgasme. Nous sommes restés collés l’un à l’autre, essoufflés, encore quelques instants puis elle s’est dégagée.
— Je ne t’avais jamais vu dans le bus, c’est nouveau ? Ce fut en tout cas un excellent prétexte pour faire connaissance
— Ma voiture est en réparations mais, si c’est pour arriver au même moment que toi ici je crois que je vais prendre un abonnement.
Elle a eu un petit rire avant de me repousser.
— J’ai du travail et toi aussi. Mais j’espère que ça ne restera pas unique.
Elle m’a embrassé sur la joue avant de me rajuster et de me mettre dehors d’une tape sur les fesses. Il était temps de reprendre une vie normale.