C’est aujourd’hui que je me fais livrer mon nouveau canapé et je suis un peu stressée. Est-ce qu’il va bien s’intégrer dans mon intérieur ? Ai-je bien pris les mesures ? Bref, tout un tas de questions se bousculent dans ma tête lorsqu’on sonne. Il y a un camion garé en bas de chez moi et deux types à la porte, c’est eux.
Je leur ouvre. Le premier qui entre, sans doute le chef, est un grand blond plutôt mince mais je devine une carrure bien entraînée sous sa polaire. L’autre, brun et mat de peau, est plus petit et plus râblé. La décontraction qu’ils affichent en découvrant le chantier me rassure, leurs paroles aussi.
- Vous verrez Madame, il n’y en aura pas pour longtemps et vous serez bien après.
Je ne sais pas si j’ai rêvé mais il me semble que le grand m’a fait un clin d’œil en me disant cela et j’avoue qu’ils ne me laissent pas indifférente.
- Je vous laisse faire et si vous avez besoin de quoi que ce soit je suis dans mon bureau.
- On vous dira Madame, et ne vous inquiétez pas.
Ils avaient raison, ils m’appellent un quart d’heure plus tard pour me dire qu’ils ont fini et m’invitent à faire les constats d’usage. Tout est nickel et je les remercie chaleureusement.
- Un café ?
- Ça ne sera pas de refus, vous êtes notre dernière cliente et il nous fera du bien.
J’ai noté qu’ils ont fini leur tournée et décide d’en profiter un peu. Une fois les tasses sur la table basse, je les invite à s’asseoir à côté de moi et pose ma main sur leur entrejambe à peine se sont-ils installés. Je ne dois pas être la première à leur faire le coup car, loin de se démonter, ils se mettent immédiatement en action et je me retrouve les seins à l’air en train d’aller d’une bouche à l’autre et, très vite d’une queue à l’autre. Elles sont à l’image de leurs propriétaires, l’une élancée sans être trop fine pour autant et l’autre courte et massive, ce qui m’oblige à distendre les mâchoires au moment de la prendre en bouche.
Je suis nue à présent, à branler celui que je ne suce pas, et les mains des deux garçons ne restent pas inactive, me caressant la poitrine, les fesses et surtout ma petite chatte qui s’humidifie à vue d’œil.
- On l’essaie ce canapé ?
Je suis surprise par la détermination dans ma voix au moment où je m’empale sur le petit brun sans toutefois cesser de m’occuper de son collègue qui comprend aussitôt quel va être son rôle. Je sens ses doigts mouillés de salive se presser contre mon petit trou avant de le pénétrer. Il me dilate bien tandis que je m’affaire sur son camarade et son gland vient remplacer son index et son majeur, qu’il pousse bien profond dans mon cul. Me voilà prise des deux côtés et je mesure pleinement leur complicité puisque c’est eux désormais qui impriment leur rythme, me remplissant tantôt en alternance tantôt simultanément. Ce n’est pas mon premier trio ni ma première double, cela m’est déjà arrivé en soirée ou en club, mais celle-ci a la saveur toute particulière de l’impromptu et je dois reconnaître que la pratiquer avec deux mecs dont je ne connais même pas le prénom ajoute à mon excitation. Je me sens particulièrement salope à me donner ainsi et c’est trop bon . Il n’y a pas de paroles inutiles non plus, nous nous contentons de grogner de concert. Mon salon ne tarde pas à sentir le sexe et la transpiration et, ivre de ce parfum, je ne tarde pas à partir et crie mon plaisir, une belle bite dans chaque trou. Reste à présent à les finir. Ils se sont retirés et pointent leurs sexes en direction de mon visage. Une double faciale ? Pourquoi pas ? Mais, le canapé ?
- Vous avez bien choisi Madame, c’est un tissu révolutionnaire qui n’a besoin que d’un coup de chiffon humide pour nettoyer toutes les traces.
Ils semblent s’y connaître et, rassurée, je les branle frénétiquement jusqu’à ce qu’ils m’offrent leur jus à grandes saccades. Ils sont tout aussi abondants l’un que l’autre et je me retrouve couverte de foutre, heureuse d’en avoir autant. Ils se montrent prévenants ensuite en me faisant la démonstration du nettoyage sur une partie de leurs excès mais ils doivent partir et ne prendront pas leur douche avec moi.
- Claquez la porte en sortant, je profite encore un peu de votre prestation.
Je reste un moment avachie sur le canapé à digérer tout ce plaisir avant d’aller me nettoyer et reprendre une vie normale. J’ai la chatte et le cul encore bien échauffés et je me les caresse longuement sous la douche. Lorsque je reviens dans le salon, je peux constater que l’assise et le dossier ne portent aucune marque. Ils avaient raison et, ravie, j’imagine déjà toutes les manières de rentabiliser cette nouvelle acquisition.