Deep inside

Elle s’enfonce en moi de quelques centimètres supplémentaires. J’ai l’impression qu’elle prend d’incroyables précautions pour ne pas me blesser. Jusqu’à ce moment où j’ai l’impression qu’elle m’a complètement embroché et que le gland tape au fond de ma grotte. 

Ce n’est pas douloureux, bien au contraire. Je me sens parfaitement rempli et je mesure le talent de l’artisan qui a fabriqué le jouet tellement il semble épouser les contours de mes parois internes.

Elle l’a senti également et s’immobilise. 

  • Ça va ? Comment te sens-tu ? 

Je pousse un long soupir avant de lui répondre 

  • Je ne savais pas que c’était ainsi.

Avide

Ce ne sont plus ses doigts, c’est nettement plus gros, ce qu’elle me présente. Mais je n’en ai pas peur et même je l’espère. Je sens mon cul ouvert, elle l’a lubrifié, et je lui fais confiance

  • Si tu as mal, j’arrête. 

Je lui assure que oui et je me cambre un peu. Elle appuie contre moi le joli gland de bois et pousse doucement. Je me sens peu à peu rempli par le jouet qui entre dans mes chairs inexorablement.

Je sens sa progression cesser soudainement

  • En as-tu eu assez ? 
  • Je crois que bien en reprendre un peu plus. 

On the beach (5)

C’est ma dernière baignade de l’été. Demain je prends la route et la vie va reprendre son cours. En attendant, je m’accorde une dernière matinée de plage. Les touristes ont certainement déjà commencé à prendre la route car il n’y a pas grand monde sur le sable. Il y a un peu de vent alors je leste ma serviette avec quelques galets. Le parasol restera dans son étui. La mer est agitée, c’est sympa, je vais jouer avec les vagues. 

Lorsque je reviens de ma baignade, je constate qu’un couple s’est installé non loin de moi. Elle est blonde, cheveux au carré, et très menue de corps. Ce qui me réjouit quand elle ôte sa robe, c’est qu’elle n’a pas succombé aux diktats moralistes et qu’elle a visiblement l’intention de bronzer topless, ce qui me donne une vue imprenable sur sa poitrine, petite mais très bien dessinée. Son bas de maillot est très échancré et découvre largement la rondeur de ses fesses. Elle est vraiment bien faite et ne semble pas habitée par la moindre pudeur. La présence rassurante de son compagnon, un gars plutôt costaud et à la mine autoritaire, y est sans doute pour quelque chose. Je doute fort que quiconque vienne les importuner. 

Je ne peux m’empêcher de la dévorer des yeux tandis qu’elle se passe de la crème solaire sur tout le corps. Le soin qu’elle prend à n’oublier aucun centimètre carré et la façon qu’elle a d’étaler la lotion -de vraies caresses- ont une sensualité folle. Cette ravissante quadragénaire est vraiment sexy et, progressivement, mon désir monte.

Elle va rapidement se baigner avant de regagner le rivage et prendre le soleil. Il y a quelque chose de fascinant à la voir prendre des poses afin de s’exposer le mieux possible aux rayons du soleil. Elle ne se contente pas de s’allonger, c’est une véritable chorégraphie dont je ne perds pas une miette 

Je croise soudain le regard de Monsieur. Je viens de me faire prendre en flagrant délit de matage de sa douce et mon visage s’empourpre. Je ne baisse pourtant pas les yeux. Il m’a pris. Nous restons d’interminables secondes ainsi. Je ne sais plus où me mettre et j’ai l’impression qu’il me juge. 

Jusqu’au moment où elle se tourne vers moi. Sans la moindre gêne, elle m’adresse un franc sourire avant de chuchoter quelques mots à l’oreille de son homme qui sourit à son tour. La situation a l’air de les amuser plus que de les déranger, ouf ! Je les vois se concerter quelques instants durant lesquels je les vois m’adresser de brefs coups d’œil, comme s’ils discutaient de moi. Je n’ose croire qu’ils nourrissent quelque intention à mon égard. Ce que je lis ça et là et qui n’arrive qu’aux autres est-il en train de me tomber dessus ?

J’ai subitement très chaud quand, d’un signe de la main, il m’invite à venir et je dois faire un effort pour me donner une contenance alors que je m’approche. Elle s’appelle Liliane, lui c’est Cyril. Ils me disent tout net qu’ils m’observent depuis qu’ils sont arrivés car ils ont une dernière envie avant de rentrer de vacances et qu’en tant qu’homme seul sur cette plage quasiment déserte je suis un bon candidat. 

  • Tu me mates depuis le début sans chercher à te cacher et je trouve ça très sympa. Assieds-toi. 

Il est sur sa droite, elle tapote donc de la main gauche sur un coin de serviette de sorte que nous l’encadrons. Je vois qu’il est déjà très à l’étroit dans son maillot de bain, d’autant plus que sans me quitter des yeux, elle se remet à le caresser.

  • Tu en veux aussi ? 

Elle ne me laisse pas le temps de répondre et pose sa main sur mon paquet. Je sens immédiatement mon sexe s’éveiller sous ses doigts. Elle sourit. 

  • Je vois que oui. Baissez vos maillots mes chéris. Je veux voir vos queues

Nous nous tournons vers elle comme un seul homme et libérons nos sexes qui sont déjà bien gonflés. Elle nous prend en main et commence à nous branler doucement. Elle doit sentir notre excitation dans sa paume car j’ai la sensation qu’elle nous gère tous les deux pour nous amener à un plaisir synchrone. Nous nous regardons Cyril et moi et je lis sur son visage sa lutte pour ne pas se rendre trop vite. Je ne vaux guère mieux que lui cela dit tant Liliane s’avère être une excellente branleuse. Elle accélère d’ailleurs les mouvements de ses poignets avant de nous demander si nous sommes prêts. Nous le sommes. Elle s’allonge et nous nous rapprochons jusqu’à presque toucher son ventre avec nos glands. 

L’affaire est réglée en quelques coups de poignets et de longues giclées de sperme viennent zébrer sa peau avant qu’elle ne l’étale partout sur son corps. Personne n’a remarqué quoi que ce soit et le vent a emporté nos cris au large. 

  • Merci Éric. j’ai toujours voulu savoir ce que valait le sirop de cordum par rapport au monoï et mon chéri n’en avait pas assez pour me couvrir entièrement. 

Cyril acquiesce, ravi. 

Nous restons un moment à discuter de nos vacances qui s’achèvent et sur notre vie à reprendre tandis que notre semence sèche sur Liliane. C’est vraiment un très agréable moment de complicité qui prolonge joliment nos jeux de tout à l’heure mais l’heure tourne et le moment arrive où il nous faut nous séparer. Ils insistent toutefois pour que nous échangions nos numéros. Ils font parfois des tours de France et l’envisagent comme étape. Je n’ai pas l’intention de les oublier, ils sont un de mes beaux souvenirs de vacances. 

Awake and hollow

Comme tout à l’heure, je sens le frais du lubrifiant dont elle m’oint sur ma rosette, puis, très vite, en moi quand ses doigts s’y glissent à nouveau. Mais elle ne se contente pas de les faire coulisser cette fois. Je la sens me travailler progressivement alors qu’elle les fait pivoter et les écarte en ciseaux. 

La sensation d’un vide qu’il va falloir remplir m’envahit peu à peu et je tangue sur mes genoux, pris d’une houle dont je ne me serais jamais senti capable et qui embrase mes reins. 

Sa main libre me flatte la croupe. 

  • Tu es prêt. 

Quai d’Orsay

Mots contraints : Blesser, pot, méchant, vélo, réveil, personnel, ministère*, démolition, escalier

Sans vouloir être méchant ni la blesser, je pense qu’elle a un petit vélo dans la tête pour être ainsi adepte de la démolition anale. Pensez donc : pas plus tard qu’il y a une semaine, elle s’est fait casser le pot par tout le personnel mâle du ministère où elle faisait un extra pour une réception. L’histoire dit qu’elle a monté le grand escalier central en douze stations pour autant de queues pour atteindre son golgotha, un diplomate africain au membre démesuré qui a achevé de la crucifier.

Mais le plus fort c’est que, après ce genre de fantaisie, elle rentre se coucher comme si de rien n’était et, à son réveil, son œillet est intact, comme vierge. 

Elle a un truc c’est certain.

Les oulimots des copines et des copains.

(image Georges Lezemby /Flickr)

En piste

Elle me laisse m’affairer encore quelques minutes sur la colonne qui orne son bassin avant de me l’ôter de la bouche. 

  • Tu en as assez fait. Tourne-toi à présent, je vais t’honorer comme tu le mérite. 

Le bois est luisant de ma salive et je vois quelques gouttes tomber sur le sol avant de pivoter afin de lui présenter mon cul. J’ai la satisfaction du travail bien fait car je l’ai sucé comme si je pouvais lui arracher une quelconque jouissance et je sais qu’il va bientôt me rendre la pareille. 

Je mets le front au sol, elle observe, ravie. 

Marques de toi

Cette intrusion me fait fermer les yeux et je frissonne quand ses ongles viennent me lacérer de la nuque jusqu’au milieu du dos. 

Je soupire de contentement alors que sa bouche se décolle de la mienne. 

  • Tu es bien mouillé en effet. Et comme tu as l’air de vouloir te faire prendre, je vais te faire encore un peu lubrifier le jouet. 

Dont acte. Elle se redresse et le gland de bois me force à nouveau les lèvres. L’effet de surprise est passé et je sais désormais quoi faire. 

Ma bouche fait des bruits obscènes alors que je le pompe. 

Une initiative malheureuse ?

Elle prend mon menton dans sa main et l’olisbos frôle ma joue. 

  • Alors ?
  • Il faut peut-être le mouiller un peu plus en prévision d’un autre usage. 

C’est osé de ma part et je le sais mais je n’ai rien trouvé d’autre pour essayer de prendre l’initiative. 

Elle s’agenouille devant moi et plonge son regard dans le mien. 

  • Mais quelle audace ! J’en ai puni d’autres pour moins que cela, tu sais ? 

Je décide de ne pas baisser les yeux. 

  • Mais dans ce contexte je ne t’en tiens pas rigueur. Et j’aime ta détermination. 

Elle fourre soudain sa langue dans ma bouche 

Réflexion

J’ai bien évidement envie de reprendre ce magnifique objet au fond de la gorge. Mais pas que. J’ai pu apprécier son profil dans ma bouche et je suis extrêmement curieux de savoir quel effet cela peut donner dans mon cul, même si je suis un peu perplexe quant à ma capacité de le prendre. Mais si elle a pris la peine de me le présenter c’est qu’elle est plus confiante que moi.

  • Je t’ai posé une question. Tu as perdu ta langue ? Mais je sais comment te faire parler. 

Il y a de la malice dans l’intonation de sa voix 

On the beach (4)

L’été avance peu à peu et nous voilà déjà à la mi-août passée. Peu importe. Il reste encore de beaux jours devant nous et nous avons envie d’en profiter. C’est pour cela que nous sommes partis au bord de la mer rejoindre Helena, une amie, pour le week-end. Nous n’en sommes pas loin et l’occasion est belle de passer du temps ensemble. 

Elle nous a donné rendez-vous non loin de la plage. Une paillote qu’elle a découverte récemment. Elle nous a assuré que nous adorerions. C’est en effet le cas. La décoration est très orientée vacances sans toutefois sombrer dans la facilité d’un exotisme artificiel. Et puis que dire de la bande son qui explore tour à tour l’électro jazz, la soul et les rythmes latino ? Le DJ ne se contente pas de pousser des disques il instille au lieu une ambiance tout à la fois classe et festive, animée et feutrée. 

Bercés par la douceur du moment, nous dansons assis tout en dégustant nos cocktails quand un homme vient se poster derrière notre amie et lui cache les yeux de ses mains. Elle bondit, surprise, mais se met à rire aussitôt. 

  • Coquin ! Tu m’as dit que tu ne viendrais pas ce soir ! 
  • C’était pour te faire la surprise ma belle. 

Le nouvel arrivant se présente. Mike. Il est artiste et expose à l’occasion dans les galeries locales. Helena nous assure que nous l’adorerions très certainement car elle est déjà conquise,ce qu’elle nous prouve en l’embrassant langoureusement en faisant glisser ses doigts le long de son torse par l’entrebâillement de sa chemise. C’est vrai qu’il n’est vraiment pas mal me chuchote ma compagne à l’oreille, ils se sont vraiment bien trouvés. Comme nous. Et elle pose sa main sur mon entrejambe tandis que Mike s’asseoit à côté d’Helena. 

La température est montée d’un cran depuis qu’il est arrivé et notre conversation à quatre prend très vite une tournure beaucoup plus intime. Je regarde Mylene. Et si c’était le soir pour sauter le pas ? Nous la connaissons déjà, son nouvel ami nous inspire confiance et nous avons envie d’explorer d’autres façons de nous aimer. 

C’est Mylene qui lance le débat à ma grande surprise. 

  • Mike, tu ne nous ferais pas une visite nocturne de ton appartement atelier ? Je suis certaine qu’on peut y dénicher des merveilles. 

Le sous-entendu est tangible et l’artiste saisit la balle au bond 

  • Avec plaisir. J’ai aussi un très bon rhum et un canapé très profond. 

Il y a tout autant d’arrière-pensées dans sa réponse et les regards que nous nous lançons tous les quatre sont sans ambiguïté. Il est temps de partir. Les garçons règlent les consommations. Les filles sont restées sur la terrasse et commencent à se bécoter. 

  • Elle n’est pas farouche Mylene, vous êtes habitués ? 
  • Non mais Helena et toi êtes à nos yeux l’occasion rêvée de découvrir. 
  • Rien n’est obligatoire tu sais ? Mais nous saurons accompagner vos désirs, quels qu’ils soient. 

La main qu’il vient de poser sur mon épaule est franche et bienveillante. Nous rejoignons les filles et partons bras dessus bras dessous tous les quatre. Nous allons très certainement nous mélanger dans peu de temps et j’aime cette idée, d’autant plus que Mylene partage désormais ses baisers entre moi et l’autre couple sans la moindre distinction. 

  • Elle va aimer Mike, il est viril et doux. Et toi ?

Helena vient de me prendre par la taille. Je ne sais que répondre. 

  • Tu as peur de la perdre ? Ça m’a fait le même effet la première fois. Mais vous vous aimez, cela crève les yeux et je peux te garantir que vous en sortirez grandis. J’en parle avec elle depuis quelques jours déjà.
  • J’ai envie de vous trois, mais je ne sais pas comment 
  • Cela se décidera au fil de la nuit, sans forcer, Rassure-toi. 

Mes dernières barrières finissent de tomber alors qu’Helena et Mylene m’embrassent tour à tour tandis que Mike caresse mes cheveux. 

La pleine lune est énorme au-dessus de nous.