Ses mains sont sur mes fesses, comme si elle voulait m’ôter toute possibilité de recul. Je n’en ai aucune envie. L’air frais me pique un peu les cuisses mais mon sexe coulisse dans un fourreau humide et chaud et cette fellation est prodiguée avec tant de passion et de science que je voudrais qu’elle ne se finisse jamais. Cette sensation d’un plaisir qui va crescendo et semble sans limite est telle que je dois me mordre les lèvres jusqu’au sang pour ne pas hurler.
Mais nous devons rejoindre nos convives. Elle le sait et exagère le ballet de sa langue.