Succomber à une personne de son sexe ? Je n’aurais pas cru la chose possible il y a peu encore. Et puis il y a eu cette soirée 2+2. Une de mes amantes avait convié un couple de ses amis à nous rejoindre pour jouer et essayer d’oublier un peu les vicissitudes du moment. Ce n’était pas la première fois que nous allions nous mélanger. Et j’avais toujours bien vécu la proximité d’un autre homme au cours de leurs parties fines. Mais cette fois, au moment de serrer la main de notre nouveau complice, j’ai senti que les choses n’allaient pas se passer de la même façon. De ce gars, sensiblement du même âge que moi, émanait quelque chose que je n’arrivais pas à déterminer mais qui me troublait terriblement. Peut-être était-ce cette mâle assurance qu’il affichait, cette virilité tranquille et bienveillante dont il semblait auréolé. En tout cas, il me faisait de l’effet.
Et ce n’est pas le fait qu’il ait entamé la discussion en annonçant très simplement qu’il était bi et en me demandant si je l’étais aussi qui avait arrangé les choses. Je n’ai su que bredouiller un vague “non”et, d’une certaine façon, ma réponse m’afrustré. Il n’en a pas pris ombrage et la discussion estt partie sur d’autres sujets.
Jusqu’au moment de passer aux choses sérieuses. Une fois que nous nous étions déshabillés, je n’ai pas pu m’empêcher de jauger sa queue du regard. Circoncise, légèrement courbée vers le haut et de fort belles proportions sans toutefois être énorme, je n’ai pas pu m’empêcher d’imaginer le plaisir qu’elle pouvait procurer.
La suite devait parfaitement l’illustrer. Cet homme était doté d’une vigueur et d’une endurance stupéfiante et allait d’une femme à l’autre sans jamais donner l’impression de défaillir. J’étais fasciné de le voir les baiser ainsi et ce formidable sexe me tentait de plus en plus. Jusqu’à ce qu’il se retire de mon amante pour souffler un peu. Là, je n’ai pas pu résister à la tentation de tendre la main vers lui.
— Prends-la.
Il m’a souri avec bienveillance en se mettant sur le dos pour s’offrir à ma caresse. et je me suis mis à le branler doucement. Sa queue était plus chaude, plus noueuse que la mienne. J’aimais la caresser. J’ai fini par tendre mes lèvres vers son gland avant de le gober. Un homme avait donc ce goût là. Je prenais le temps de le savourer en lui imprimant mon rythme. Ce qu’il semblait apprécier à en croire ses gémissements.
Les deux femme nous regardaient, délaissées pour le moment mais attendries par la scène. Puis mon amante est venue s’asseoir sur le visage du garçon tandis que son amie l’embrassait à pleine bouche en lui caressant les seins.
Nous avons varié les tableaux à l’infini ce soir-là, du moins dans la limite de nos moyens physiques et, finalement, lui et moi nous sommes fait jouir mutuellement sur les poitrines des deux femmes.
Nous avons passé la nuit à quatre dans le lit king size et, quand après le café du matin, ils se sont préparés à prendre congé, je lui ai demandé quand nous nous reverrions. Elles ont ri. Lui m’a embrassé sur la joue avant de me murmurer un brûlant “Bientôt. Nous avons beaucoup à faire ensemble”. J’ai bandé illico.
Vivement qu’ils reviennent. Vivement qu’il soit là à nouveau