
Le week-end est souvent l’occasion de se retrouver au restaurant entre amis et ce début de vacances n’allait pas déroger à la règle. Nous nous étions donc retrouvés dans une brasserie afin de déguster quelques bières et manger des planches de charcuterie et de fromage.
Les choses allaient bon train, les pintes défilaient, si bien qu’il me fallut aller faire une pause technique, annonce accueillie par les rires gras de mes amis qui me traitèrent de petit joueur.
Par chance, il n’y avait pas grand monde qui attendait devant la porte des toilettes, seulement une femme entre deux âges dont la chevelure poivre et sel coupée très court attira mon regard. J’aime ces femmes qui assument ce genre de coiffure et le reste de sa physionomie n’était pas pour me déplaire avec ses formes généreuses.
Nous échangeâmes un bref regard au moment où elle entra à son tour, mais qui suffit à me convaincre de la suivre sans plus attendre. Nous nous jetâmes l’un sur l’autre sitôt le verrou tiré, nos bouches se cherchant avant que nos langues ne se mettent à danser un ballet endiablé. J’étais tout de même venu pour satisfaire un besoin naturel dont elle me demanda s’il était pressant. Devant ma réponse affirmative, elle desserra son étreinte, juste le temps de libérer mon sexe de mon pantalon.
- Vous permettez que je vous guide ?
Elle prit mon gémissement pour un acquiescement et me dirigea vers la cuvette dans laquelle je me mis à déverser mon trop plein de bière à gros bouillon. J’avais du feu dans les reins et ce n’est pas le coup de langue malicieux qu’elle passa sur mon gland sitôt que j’eus fini qui allait me calmer, bien au contraire. J’étais désormais au garde-à-vous avec une envie terrible de baiser cette superbe créature. Il lui fallait cependant se soulager à son tour, ce qu’elle fit accroupie sur les toilettes, de sorte que j’avais une vue imprenable et parfaitement excitante sur sa vulve glabre dont s’échappait un flot limpide.
Elle avait à peine fini quand je la fis tourner sur elle-même, les mains appuyées sur le mur et que, écartant les globes voluptueux de ses fesses, je n’investisse son sexe luisant d’une poussée rectiligne. Il fallait faire vite, des gens commençaient à s’impatienter dehors. Je me mis alors à la pilonner de toute la force dont j’étais capable, la soulevant presque du sol à chaque coup de boutoir.
Nous jouîmes ensemble, les contractions de son vagin sur ma queue déclenchant une éjaculation formidable qui inonda son cul. Elle l’essuya à peine avant de se rajuster et nous sortîmes ensemble des toilettes sous les regards outrés de la clientèle.
Mes copains se remirent à se moquer de moi, ils étaient prêts à organiser une expédition de secours pour me sortir du trou dans lequel j’avais dû tomber. Je les écoutais distraitement, les yeux dans ceux de ma complice du soir qui dînait en famille.